Mercredi 25 novembre 2020, le député Luc Geismar est intervenu pour exprimer le soutien du groupe Modem au projet de Loi contre le dopage. 

Le député de la Ve circonscription de Loire-Atlantique se réjouit de l’enthousiasme général quant à l’organisation de grands événements sportifs en France, tels que la Coupe du monde de rugby 2023 et les Jeux olympiques de 2024. En dépit du contexte sanitaire, il a pu observer de nombreux acteurs, élus et citoyens, qui s’affairent déjà aux préparatifs avec entrain. 

Cependant, Monsieur Geismar estime que cette organisation doit s’accompagner d’un rigoureux suivi des règles qui régissent le savoir-vivre et savoir-être dans le monde du sport.

 

La France a toujours eu à cœur de placer l’éthique au centre de la pratique sportive, et aujourd’hui encore, l’éthique la plus rigoureuse doit guider notre plume.

Cette réforme du Code mondial antidopage s’avérait donc nécessaire, et ce dans le respect des droits des sportifs. Le député souligne que son groupe et lui-même seront extrêmement vigilants quant à l’efficacité de son intégration au droit français. 

Par ailleurs, monsieur Geismar propose une évolution de ce droit d’enquête dans le domaine du dopage, notamment en autorisant les contrôles continus déjà autorisés par ce nouveau Code mondial antidopage. 

Ces contrôles strictes pourraient avoir lieu de jour comme de nuit”, précise t-il, “Il s’agit de garantir la plus grande transparence et le bon déroulement des prochains événements sportifs. Trop de scandales ont déjà terni l’image de ces compétitions de haut niveau, or ces dernières sont avant tout des occasions de rassemblements festifs. C’est cette ambiance de célébration que cette loi entend préserver.

À l’Assemblée nationale – le 07/11/2020

Projet de loi contre le dopage